Suite à un meeting avec un de nos clients, me suis dis que j’allais partager quelques réflexions.

Je n’entre pas dans le débat digital vs offline, mais si on parle pur digital on nous demande souvent s’il faut mettre des efforts sur Google (en référencement naturel et/ou payant) ou alors sur les réseaux sociaux (organique et/ou payant).

Souvent dans le sens « l’un ou l’autre »?
Mais les 2 « approches » ne sont pas opposées, au contraire.

Dans le monde google ads, on génère un trafic qualifié, en matchant des demandes précises, exprimées par le consommateur via ses recherches avec des solutions offertes par le marché, potentiellement par votre entreprise.

Et même si selon moi on ne crée pas de notoriété forte, spontanée, on matche une demande et une offre. C’est déjà pas mal et ça représente quasi 60% des revenus d’Alphabet.
A noter que l’on a souvent un bon rapport investissement/conversion, car la demande est exprimée, et le consommateur est dans un processus de recherche active, voire d’achat.

Dans le monde des réseaux sociaux c’est un peu l’inverse. A part le fait que le ciblage est précis, les gens que l’on touche n’ont exprimé aucune demande.

J’aime bien dire qu’ils sont sur leurs toilettes et scrollent leur feed, juste pour l’image 😜.

Par contre on peut générer massivement de la notoriété autour d’un produit ou d’un service, parce que les formats type vidéo par exemple, sont impactants et parce qu’on pousse du contenu à des gens qui ne l’auraient jamais vu autrement.

On peut y raconter de vraies histoires de marque et embarquer le consommateur dans des sujets qui, à priori, l’intéressaient peu. En bref on se fait connaître à relativement bas coûts. Pareil pour Youtube d’ailleurs.

Sachant qu’un processus d’achat est multifactoriel, et qu’il prend un certain temps (pensez au choix de vos dernières vacances par exemple), les 2 approches semblent complémentaires.

Un axe inspiration et notoriété sur les réseaux sociaux, un axe trafic et conversion sur Google (saupoudré d’un certain nombre de subtilités en remarketing, mais ça devient technique là ;))

Si l’écosystème est bien mis en place, que le contenu est intéressant pour des cibles définies, qu’il est optimisé dans le temps, il performe dans beaucoup de domaines.

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